CDDC 2019

Collège Abel Didelet, Estrées-Saint-Denis

A partir de la visite de l’exposition de la Fondation Francès, présentant le travail de l’artiste Kader Attia autour des questions de réparation et de mémoire, les élèves découvrent et débattent autour de la notion d’acceptation de soi et de cicatrisation. Ils réalisent des créations plastiques à partir de poupées et autres objets brisés, ainsi qu’avec des miroirs, objets métaphore de l’acceptation des traumatismes.

 

Collège Ferdinand Bac, Compiègne

Le projet initié avec les 3e du collège de Compiègne porte sur les droits des femmes et la place de l’art et de la création dans l’émancipation des femmes. Réalisé en collaboration avec les enseignantes de littérature, d’histoire et la documentaliste de l’établissement, le CDDC aboutira à un journal, créé par les élèves, qui reprendra les notions historiques étudiées en classe, et leurs créations graphiques personnelles, inspirées d’artistes telles que Niki de Saint-Phalle, Annette Messager ou encore Louise Bourgeois.

 

Collège Albéric Magnard, Senlis

Les élèves du collège senlisien travailleront à partir du printemps sur la question de la réparation, à partir de l’œuvre de Kader Attia, présentée actuellement dans « Mémoire de l’Oubli ». Théories et pratiques se mêleront pour créer un projet singulier.

 

Collège A.M.Javouhey, Senlis

Un projet à venir très prochainement avec les élèves senlisiens, qui étudieront eux aussi la question de la réparation à partir de l’œuvre de Kader Attia, présentée dans « Mémoire de l’Oubli » à la Fondation Francès. Théories et pratiques se mêleront pour créer un projet singulier.

 

PEPS 2019

Lycée La Hotoie, Amiens

Étudiant les cultures du monde, les sciences de la réparation et la manière de raconter l’histoire avec l’art, les élèves du Lycée La Hotoie d’Amiens se sont plongés dans les sujets de prédilection de l’artiste Kader Attia, exposé à Senlis dans « Mémoire de l’Oubli », et ont créé des formes plastiques diverses autour de la question de la réparation.

 

Institution Jean-Paul II, Compiègne

A partir de la thématique de la Bio-Inspiration, les lycéens de l’Institution Jean-Paul II de Compiègne souhaitent travailler à partir de matériaux recyclés de l’établissement, tels que le métal, le bois, la toile, et établir un parallèle avec l’œuvre exposée dans leur cour, une sculpture de Madeleine Tezenas issue du 1% artistique.

 

Lycée Arthur Rimbaud, Ribécourt

Les élèves du lycée professionnel Arthur Rimbaud de Ribécourt ont créé une structure bio-inspirée pour embellir la cour de l’établissement. Forts de leur compétence en menuiserie, ils ont utilisé leur découverte de la Bio-Inspiration pour imaginer un mobilier mettant en valeur les poèmes d’Arthur Rimbaud ; un objet marquant pour l’identité de leur lycée.

 

Lycée Amyot d’Inville, Senlis

La classe de 1ères du Brevet des Métiers d’Art du Lycée Amyot d’Inville à Senlis s’est associée à nous afin de découvrir la Bio-Inspiration dans l’art et l’architecture, et de créer des formes bio-inspirées à partir de l’artichaut, thème choisi pour leur Journée des Arts du 6 et 7 avril 2019. Les élèves ont ainsi étudié minutieusement le fonctionnement de l’artichaut et sa construction biologique pour imaginer des objets design et des architectures à partir de matériaux recyclés.

 

Lycée Hugues Capet, Senlis

A partir d’une découverte théorique de la Bio-Inspiration et du recyclage de matériaux pour effectuer des créations plastiques, les élèves du Lycée Hugues Capet de Senlis se sont penchés sur les 4 éléments constituant la nature : l’eau, le feu, la terre et l’air. L’artiste Clément Borderie est intervenu pour les accompagner dans leur processus créatif.

 

Centre professionnel rural, Vaumoise

Les 1ères option Sanitaire et Social du CFPR de Vaumoise étudieront la Bio-Inspiration et son lien avec l’écologie afin de créer des sculptures végétales. Un projet qui débutera en avril.

 

Lycée Saint-Vincent, Senlis

La visite de l’exposition « Mémoire de l’Oubli » de Kader Attia à la Fondation Francès, traitant de la question de la réparation et de l’identité, a inspiré aux élèves du Lycée Saint-Vincent de Senlis un travail autour des idées reçues. Ils souhaitent, à partir de leur enseignement en histoire et en philosophie, rédiger un Manifeste des préjugés.